Je partage le sentiment de Pattoura. Difficile d'admettre qu'il est impossible de soigner la moindre fracture: avouez qu'il serait inconcevable que nous, humains, soyons envoyés au cimetière pour une simple fracture de poignet ou de cheville. Ceci dit, je suis persuadé que femmes et hommes de la filière hippique sont,par définition, amoureux des chevaux. Ne serait ce, par exemple, qu'à en juger par le désarroi, à l'arrivée, de Guillaume Macaire d'avoir perdu As d'Estruval alors que, dans le même temps, ses deux autres pensionnaires (So French et Storm of Saintly) lui offraient le couplé gagnant de la plus grande épreuve d'obstacles en 2016. Parfois, les histoires sont belles: je me souviens qu'en avril 1971, le meilleur cheval de la génération des 3 ans, Bonami, se fracture le canon dans le Greffulhe. Une équipe médicale, dirigée par le Docteur Pouret, réalise un miracle et Bonami est sauvé. C'était il y a presque un demi-siècle. Depuis, la science n'a-t-elle pas évolué?